Les stéroïdes : des anabolisants dangereux pour la santé ?

Les stéroïdes : des anabolisants dangereux pour la santé ?

En application de la loi nº78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez des droits d’opposition (art.26 de la loi), d’accès (art.34 à 38 de la loi), et de rectification (art.36 de la loi) des données vous concernant. upsteroide7 A côté des effets physiques, il peut y avoir aussi des effets plus insidieux, sur le mental et le psychisme des personnes qui consomment. Pour les deux sexes, il va y avoir des effets indésirables rapides dont certains peuvent être à terme irréversibles.

Les tests sanguins ont été lontemps interdits du fait de croyances religieuses de divers pays. Ce produit semble utiliser depuis 1983, son développement
est récent et semble irrémédiable. Clostébol, déhydroépiandrostérone (DHEA),
fluoxymestérone, métandiénone, méténolone, nandrolone, oxandrolone, stanozolol,
testostérone, et substances apparentées. Le dopage peut donc être parfaitement artisanal ou
extrêmement scientifique.

SUBSTANCES SOUMISES A

Contrairement aux effets recherchés, le sportif peut voir apparaître également des douleurs articulaires et une diminution de l’élasticité des tendons et ainsi des blessures. C’est parfois un traitement médical, mais souvent une forme de dopage. Lorsque votre médecin vous en prescrit, pas d’inquiétude, les dosages de testostérone sont maitrisés en fonction de votre pathologie et des déficits qui en découlent.

  • La plupart des sportifs amateurs de stéroïdes cherche une de leurs vertus dans le cadre de brûleurs de graisse, agissant rapidement pour développer la force et la masse musculaire.
  • Toutefois, on se les procure très facilement sur Internet, en quelques clics seulement.
  • Cette méthodologie est plutôt simple à mettre en œuvre et se montre plus reproductible que l’analyse actuellement approuvée par l’AMA.

Dans les sports professionnels américains, le dopage
n’existe pas puisque les Ligues sont indépendantes et qu’elles n’interdisent aucun
produit, ni aucune pratique. La prise
d’amphétamine est présente dans les romans policiers américains depuis bien
longtemps. Ces consommateurs qui utilisent des doses de plusieurs fois supérieures aux secrétions naturelles de testostérone vont forcément induire des modifications rapides de la fonction de reproduction. Le risque principal réside à une poly-consommation liée aux objectifs qui ne sont pas que la performance, mais également pouvoir oser le faire, et se « défoncer ».

Les effets indésirables psychiques

Classiquement, il existe une modification progressive et constante du profil tensionnel. Toutefois, cela cache également une modification et une dégradation des fonctions lipidique avec une augmentation du L.D.L. cholestérol, une diminution du H.D.L. cholestérol et une augmentation des triglycérides. Le facteur de risques principal est donc un risque de fragilisation des coronaires, avec la possibilité chez des sujets jeunes, de présenter un infarctus massif. En cas de malaise ou de maladie, consultez d’abord un médecin ou un professionnel de la santé en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé.

On parle d’hormones stéroïdiennes dans le domaine médical et de stéroïdes anabolisants dans le milieu sportif. Les stéroïdes incluent les hormones sexuelles (oestrogène, progestérone et androgènes), les glucocorticoïdes (cortisone et cortisol) et les minéralocorticoïdes (aldostérone). Sa toxicité peut être grave car le rythme cardiaque s’accélère et la température interne augmente après la prise. Palpitation, tremblements, sueurs, céphalées, gêne respiratoire, œdème, spasmes musculaires, agitations, anxiété sont fréquents.

Appelés « xenoandrogènes », ces substances ne présenteraient pas d’effet secondaires mais les mêmes effets de gain musculaire. Ils sont présentés comme des compléments alimentaires en dépit du peu d’études réalisées à leur sujet. Vous gagnerez en muscle tout en diminuant votre pourcentage de masse grasse.

ENQUÊTE – “J’avais un physique lambda” : ces sportifs amateurs devenus pros du dopage

Afin d’éviter toute publicité pour ce type d’ouvrage, nous tairons à la fois le nom de l’ouvrage, son auteur et son éditeur. Pour développer sa musculature de manière légale, il faut respecter des entraînements stricts, une bonne hygiène de vie, une alimentation adaptée et aussi avoir sans doute le patrimoine génétique d’un sportif de haut niveau. Se doper entraine une dépréciation du regard sur soi et cela de manière chronique.

Les narcotiques interdits par la lutte contre le dopage

Leur usage prolongé peut entraîner des troubles psychiques, de l’agressivité, ainsi que des problèmes graves du cœur et du foie. La testostérone, la principale hormone sexuelle mâle, et ses dérivés de synthèse, sont les principaux représentants de cette classe. Ces produits ont des effets masculinisants chez les femmes (par exemple, une pilosité irréversible de type masculin). Ces produits hautement addictifs augmentent la masse musculaire et la force physique tout en diminuant la masse graisseuse.

Utilisation de la cortisone et des glucocorticoïdes chez le sportif

A l’inverse de l’EPO, l’hormone de croissance et l’IGF-1 de synthèse (aussi appelées recombinantes) sont identiques aux formes naturellement produites par notre organisme et il est donc difficile de prouver une prise de ces substances. Actuellement, l’AMA autorise deux approches pour détecter un dopage à l’hormone de croissance. La première est une méthode de détection directe de l’hormone de croissance mais elle présente une fenêtre de détection limitée à quelques heures. La deuxième approche est une méthode dite « indirecte » car elle ne mesure pas directement l’hormone de croissance mais elle s’intéresse à deux de ses biomarqueurs dont notre fameux IGF-1.

Les substances interdites dans la pratique sportive

Il faut bien comprendre que ce genre de pratique fait entrer le sportif dans un cercle vicieux où chaque médicament est administré dans le but de contrer l’autre, or tous les médicaments sont pourvoyeurs d’effets secondaires. Ces substances sont interdites chez les sportifs de sexe masculin pendant et hors des compétitions. En effet, elles stimulent la production de gonadotrophines par le cerveau et conséquemment celle de testostérone par les testicules.